Lorsqu’on se retrouve à consulter des blogues comme celui-ci, c’est qu’on est à la recherche de solutions durables et efficaces à des problématiques récentes ou qui perturbent depuis trop longtemps la vie de son entreprise ou de son organisation.
On peut également être une personne dont les responsabilités en entreprise dépassent le seul titre qu’elle porte, et qui cherche constamment à apporter à la direction des éléments de comparaison avec ce qui se fait ailleurs pour permettre d’améliorer la qualité des services, la productivité des employés et au bout du compte, les résultats financiers.
On est souvent un décideur ou un gestionnaire aguerri, préoccupé par la qualité des outils et des moyens dont disposent les membres de l’équipe pour faire face à la musique! Mais dans ce cas-ci, la musique ne s’écoute pas : elle est surtout constituée de données, d’information, de technologie, de logiciels, de systèmes, de réseaux et les sons qui en émanent sont parfois ceux des plaintes des utilisateurs ou pire, des clients, qui ne s’y retrouvent pas facilement dans tout cet univers informatique et tout ce qui gravite autour.
Qu’à cela ne tienne! Office 365 a été conçu pour faciliter la communication entre les membres des équipes et développer des analyses attrayantes autour des données au sein de la suite Office la plus sécurisée qui soit.
Identifier les problématiques
Lorsqu’on se met à consulter les gestionnaires et les intervenants à l’interne, les professionnels et le personnel administratif, et qu’on prend le temps d’analyser les récriminations de tous ces gens, on en arrive souvent à la conclusion que les logiciels informatiques sont mal adaptés aux besoins des TI de l’organisation.
Il en résulte donc de multiples difficultés, notamment :
- Une augmentation du volume de données à traiter
Il survient alors une perte d’efficacité étant donné la quantité croissante d’information et les performances limitées des outils en place.
- Une accessibilité limitée des outils informatiques
L’utilisation des logiciels manque de souplesse et on voudrait pouvoir y accéder de n’importe où, en fonction du télétravail grandissant et des déplacements nombreux des cadres supérieurs, ou simplement du président.
- L’absence de dimension « sociale » dans les pratiques d’affaires
Les réseaux sociaux ne sont pas intégrés aux modes de travail de l’organisation. Ceci rend plus difficile l’atteinte de certains objectifs corporatifs ou des stratégies de marketing modernes permettant d’améliorer les performances et les résultats financiers.
- Un manque de réactivité et des délais non-profitables
On ne parvient pas à obtenir toutes l’information utile en temps réel, retardant souvent la prise de décision, l’obtention des produits requis ou la livraison des services aux clients.
- La complexité et la non-convivialité du système
De plus en plus de gens dans l’organisation considèrent que le système d’information est compliqué. Il n’est pas optimisé pour répondre aux attentes des divers utilisateurs.
- Une lacune dans la sécurité
Il subsiste de plus en plus de doutes sur la sécurité et la confidentialité des données, ce qui pourrait causer des torts irréparables et coûteux à l’organisation.
- Un frein à l’innovation
L’entreprise ne dispose pas des solutions permettant à ses collaborateurs de travailler efficacement ensemble sur des projets communs. Ceci pose un problème certain dans l’atteinte de solutions innovantes, autant à l’interne qu’à l’externe.
Apporter des solutions tangibles pour travailler ensemble!
À toutes ces problématiques définies et identifiées, la solution passe par un outil collaboratif et innovant, aux multiples facettes et avantages : Office 365 est certainement un de ceux-là!
Ce qui devrait résulter de son implantation, essentiellement, c’est :
- Une productivité accrue des gestionnaires
La messagerie électronique Outlook, les contacts, les calendriers et documents sont accessibles en permanence via un navigateur web sur n’importe quel appareil (smartphone, ordinateur portable, tablette, poste de travail fixe), en réseau ou à distance.
- Une collaboration optimisée entre les équipiers
- Animation de réunions en ligne entre collaborateurs, partenaires et clients grâce à des fonctionnalités d’appels audio, vidéo et de partage d’écran sur Skype business.
- Création d’intranet et d’extranet pour stocker des documents partageables entre collaborateurs, partenaires et clients via Sharepoint et OneDrive.
- Possibilité de travailler à plusieurs sur un même document en même temps avec Word, Excel ou encore PowerPoint online.
- Intégration d’un réseau social d’entreprise
- Une familiarité plus grande avec les outils
Office 365, ce sont les outils Office (Word, Excel, PowerPoint, OneNote, Publisher, Access, Outlook, Skype for Business, etc.) déjà connus, disponibles sur les supports les plus utilisés, dès qu’on en a besoin et où que l’on se trouve.
- Un professionnalisme accru et remarquable
Être innovant devient simple. Être professionnel est plus accessible. On peut, par exemple, créer en ligne des présentations de qualité et des sites SharePoint pour collaborer avec des clients et partenaires.
Pourquoi hésiter encore?
Une communication efficace : la clé du succès des grandes équipes
Ce qui rend Office 365 des plus intéressants pour les entreprises, c’est que son efficacité et ses performances s’appuient sur une base solide et déjà utilisée dans une majorité d’organisations. Il n’y a donc pas grandes surprises à son implantation dans la plupart des milieux et des environnements de travail, puisque les utilisateurs en connaissent déjà certaines, sinon la plupart des applications.
Là où Office 365 devient le plus intéressant, c’est dans toutes possibilités nouvelles et originales qu’il offre aux équipes de travail pour les rendre plus performantes et leur faire profiter de façon optimale de ses avantages.
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La collaboration en entreprise est un sujet qui me fascine ; j’adore ça lorsque les organisations apprennent à bien utiliser les solutions pour permettre de meilleures communications.
C’est pour cela, lorsque je commence à travailler avec un client qui déploie Office 365 (ou bien l’utilise déjà), que je leur demande toujours comment ils comptent utiliser Yammer. Étonnamment, la réponse la plus fréquente est « Ah, non, nous n’avons pas encore activé ça. Nous ne savons pas trop qu’est-ce que nous allons faire avec ça et comment nous allons le gérer. »
Eh bien, pourquoi ne pas simplement laisser vos employés communiquer ?! La majorité des gens sont déjà assez à l’aise avec les sites de médias sociaux tel que Facebook, LinkedIn, Twitter et autres – Yammer n’est certainement pas un grand saut !
Chez un client avec qui je travaille, je leur ai dit « Active-le, voyons ce qui va se passer. » Le directeur des TIs était d’accord, et le lendemain matin nous avons pu constater que les usagers avaient trouvé l’icône dans leur menu Office 365 et étaient allé explorer. Il y avait déjà des conversations ! Les usagers avaient déjà créé des groupes ! La communication était démarrée !
Aujourd’hui, ils se servent de Yammer quotidiennement pour partager de l’information et garder tout le monde au courant de ce qui se passe dans l’organisation – promotions, campagnes de marketing, bonnes nouvelles. Il y en a même qui y mettre des citations pour motiver leurs collègues !
Tout ça fait en sorte qu’il y a beaucoup moins de courriels « À tous les usagers » qui engorgent les boites de courriels. Beaucoup d’usagers ont aussi installé l’application mobile sur leurs appareils pour pouvoir communiquer facilement avec leurs collègues de n’importe où.
Génial !
Au mois de novembre dernier, j’ai présenté à une réunion de VPs informatiques à Banff, en Alberta, et nous avons touché le sujet de Yammer. Un des exécutifs a mentionné qu’ils ne l’avaient pas activé puisqu’ils ne savaient pas comment ils allaient gérer le cas où un employé y mettrait des commentaires très négatifs. Les ressources humaines étaient inquiètes que les employés se serviraient de Yammer pour se plaindre et…chiâler.
Un autre VP a rapidement pris la parole et nous a raconter son histoire.
Effectivement, nous avions activé Yammer, et à un certain point un des employés est parti sur une tirade très négative à propos de l’organisation, le président, et tout en général. Le directeur des RH est rentré dans mon bureau en panique et m’a demandé s’il était possible de supprimer le message. Je lui ai dit « Attendons environs une heure pour voir. »
Ça n’a pas pris longtemps avant que d’autres employés se joignent à la conversation, et ce avec des commentaires très positifs. Un employé a même dit « Je te comprends – je me sentais comme ça il y a quelques mois, mais j’en parlé avec tel-un-tel et il m’a fait voir que tout n’était pas si noir, qu’en fait nous travaillons pour une très bonne organisation. »
Après plusieurs heures de réponse, l’employé qui avait mis le message original a admis qu’effectivement ses collègues avaient raison, que c’était une bonne place à travailler et qu’il allait en discuter pour passer à travers ses frustrations.
Incroyable – des employés qui s’entraident ! Généralement, il a été démontré que la majorité des gens sont satisfait avec leur travail et veulent aider, et ceci en était un bel exemple.
Alors n’ayez pas peur d’activer Yammer et permettre ces canaux de communications – je crois fermement que ce n’est que bénéfique pour les organisations.
Je vous laisse avec une autre bonne histoire, celle de KLM, qui utilise Yammer pour améliorer le service à la clientèle avec ses agents de bord :
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]]>The post Souper-causeries sur la gestion d’identités appeared first on Adaris Technologies.
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Get Insight from Forrester Research Analyst, Andras Cser
The budget for Identity & Access Management (IAM) often is justified by operational efficiency. Yet, breaches using stolen insider credentials are on the rise. For security and risk (S&R) professionals, IAM has become crucial to improving the company’s overall security posture.
Andras Cser, a Forrester Research Principal Analyst, has recently published research on how organizations around the world are:
- Defining the security benefits of IAM
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NetIQ/ invites you to attend dinner at Moishes to learn from his research and how to make this case yourself using industry best practices.
Join your peers to network and further understand how they are leveraging Identity & Access Management to improve their security posture.
Seating is limited. Register now to reserve your spot.
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]]>The post Le USA PATRIOT Act et le dilemme canadien appeared first on Adaris Technologies.
]]>En partant, une petite bagatelle :
Le terme USA PATRIOT Act est en fait un acronyme pour Uniting and Strengthening America by Providing Appropriate Tools Required to Intercept and Obstruct Terrorism Act.
Qui n’aime pas un bon acronyme ?
Maintenant, voici ce que j’ai trouvé :
Le premier article que j’ai trouvé provient de Me. Timothy M. Banks de la firme Denton’s. Dans son article, intitulé Cloud Computing and the USA Patriot Act: Canadian Implications, Me. Banks clarifie que le code criminel canadien permet déjà la saisie des données électroniques :
this legislation has led the Office of the Privacy Commissioner of Canada to conclude in three decisions not only that Canadians are at risk of personal information being seized by Canadian governmental authorities (including without the knowledge of the target), but also that there is already a risk of that information being shared with U.S. authorities.
Alors voilà – la première indication que vos données ne sont pas aussi inaccessibles que vous le pensiez simplement parce qu’ils sont au Canada.
Ensuite, je tombe sur cette FAQ sur le site du Gouvernement du Canada : Frequently Asked Questions: USA PATRIOT ACT Comprehensive Assessment Results. Plutôt significatif, la question # 6 :
Has there been a case where personal information about a Canadian was accessed under the USA PATRIOT Act?
The federal government is not aware of any such case to date.
Donc, c’est pas vraiment quelque chose qui se passe quotidiennement…
Je creuse un peu plus et je tombe sur des références de Me. David Fraser, un partenaire à la firme McInnes Cooper à Halifax en Nouvelle-Écosse. Me. Fraser se spécialise dans les technologies Internet et les questions de confidentialité. Dans un article sur IT World, intitulé Don’t use the Patriot Act as an excuse, Me. Fraser mentionne que :
The U.S.A. Patriot Act has become short for,‘Oh, we can’t use the cloud’
Dans un autre article – Keeping data here no protection against US: Lawyer – il dit :
The Patriot Act is a “boogey man,”… The fact is most developed countries have legal tools that allow their law enforcement agencies to make legal claims on data held in their countries or outside their borders
Dans ce même article, je trouve un lien à un autre où Me. Fraser mentionne qu’il y a des problèmes beaucoup plus gros que « le nuage » : Never mind the Patriot Act, watch your thumb drives. Tellement vrai !! C’est incroyable qu’encore aujourd’hui, tellement peu d’entreprises ont des politiques ou les outils nécessaires pour gérer la perte de données via ces tout petits appareils de stockage.
Je continue à creuser, et je trouve cette page, encore sur le site du Gouvernement du Canada : Summary of Submissions to the Lawful Access Consultation, qui mentionne clairement que :
For the police, this involves the lawful interception of communications and the lawful search and seizure of information, including computer data. Lawful access is a specialized tool used to investigate serious crimes, such as drug trafficking, money laundering, smuggling, child pornography, and murder. Lawful interception of communications is also an essential tool for the investigation of threats to national security, such as terrorism.
En d’autres mots, même si vos données sont sur votre propre serveur, qui est sous clé dans votre salle de serveur, les autorités peuvent les saisir s’ils soupçonnent que vous participez à des activités illégales !
C’est pas comme s’il n’y a pas eu assez d’exemples au Québec dans les dernières années :
- Quebec’s anti-corruption squad seizes computer data in raid on Liberal party’s Montreal headquarters
- Anti-corruption squad raid on Laval city hall, mayor’s home
- Charbonneau Commission: Laval notary Jean Gauthier minimizes his link to Vaillancourt
Municipalités, maires, notaires, firmes d’ingénierie – ils ont tous eu leurs données saisies par l’UPAC.
Ma conclusion personnelle : si votre entreprise n’est pas mêlée à des activités hautement illégales, il ne devrait avoir aucune raison d’avoir peur des services tel que Office 365. Et si vous êtes effectivement mêlé à des choses pas trop légales, alors les chances sont bonnes que les autorités seront en mesure de venir saisir vos données, peu importe où ils se trouvent !
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]]>The post Office 365 – l’écosystème appeared first on Adaris Technologies.
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Dans la dernière année, Adaris à eu l’opportunité d’aider plusieurs clients à migrer vers Office 365. De plus, nous avons aussi commencé à travailler avec des clients qui avaient été migré à Office 365 mais cherchaient du support additionnel.
Il y a beaucoup d’intérêt envers cette solution de Microsoft, et avec raison. Malheureusement, par contre, nous trouvons que les clients ne comprennent pas toujours bien l’écosystème qu’est Office 365.
ÉCOSYSTÈME: un système, ou un groupe d’éléments interconnectés, formé par l’interaction d’une communauté d’organismes dans leur environnement; un réseau d’éléments interconnectés et interactifs, par exemple, dans une entreprise.
Et c’est exactement ce qu’est Office 365 ! Ce n’est vraiment pas juste du courriel et la suite d’applications Office 2013, malgré que ce sont souvent les premiers éléments qui attirent les clients. Une fois qu’ils sont en « production », les clients négligent la formation et l’accompagnement et ne savent pas comment prendre avantage de tout ce qu’ils ont à leur disposition. C’est un peu comme acheter une Ferrari (ou une Porsche, ou Lamborghini, c’est votre choix) et ne jamais sortir de la deuxième vitesse ! Un peu triste !
Encore à ce jour, nous avons souvent beaucoup de questions à propos de tout ce qui est inclus dans Office 365, alors résumons un peu :
Suite bureautique Office 2013
La majorité des plans que nous recommandons à nos clients inclus la suite Office. Plusieurs choses à noter, ici : un abonnement à Office 365 permet les organisations de toujours avoir accès à la dernière version (Office 2013 en ce moment, 2016 un peu plus tard cette année).
Chaque usager a le droit d’installer la suite sur un maximum de CINQ ordinateurs ! Ils peuvent l’installer au bureau, sur leur portatif, à la maison….jusqu’à 5 installations.
Conformité ! De plus en plus, Microsoft audit les entreprises, même les PMEs. Avec un abonnement Office 365, les entreprises s’assurent d’être conforme dans leur déploiement de la suite.
Mobilité ! Tous les usagers peuvent télécharger et utiliser la suite Office sur leurs appareils Android et iOS. Ceci leur permet de travailler sur leur document à partir de n’importe où.
Exchange / Outlook
Sans aucun doute, les courriels sont la façon la plus utile de communiquer en affaire ! Tel que mentionné, les clients sont normalement assez conscient qu’Office 365 inclus Exchange. D’ailleurs, c’est souvent l’élément qui est le plus motivateur à l’abonnement. Ceci est très logique, surtout pour les PMEs – pourquoi vouloir gérer une infrastructure de courriel à l’interne, surtout quand bon nombre de PMEs ne peuvent se permettre une ressource TI à l’interne.
OneDrive
Dropbox, Box, Google Drive, etc….il y a plusieurs solutions de stockage et de synchronisation de fichiers qui existent. Avec un abonnement Office 365, chaque usager hérite de 1To de stockage pour leurs fichiers dans OneDrive. Avec les applications mobiles, ils peuvent accéder et partager leurs fichiers à partir de n’importe où. Il y a un avantage à faire utiliser OneDrive à vos usagers : si jamais quelqu’un quitte l’entreprise, l’administrateur peut accéder à leur stockage et aller récupérer les fichiers qui pourraient avoir une valeur à la compagnie.
SharePoint
Le standard dans l’industrie pour la collaboration, SharePoint permet aux organisations et équipes de stocker et gérer toute sorte d’information, qui peut ensuite être accédé de n’importe où. Un site SharePoint peut inclure des discussions, calendriers, tâches, documents, formulaires personnalisés, etc. Ceci permet aux usagers de mieux collaborer ensemble, surtout si vous avez des employés sur la route ou dans des bureaux à distance.
Yammer
Le réseau sociale de l’entreprise ! Pensez LinkedIn/Facebook/Twitter tout en un, mais interne à votre organisation. Yammer permet aux usager de poser des questions, de passer des commentaires, de communiquer avec des usagers à travers tous les bureaux de l’entreprise, de créer des groupes relatifs à certains sujets, etc.
OneNote
Oui, je sais, OneNote fait partie de la suite Office, alors pourquoi le mentionner à part ? Parce que quand je démontre aux clients le genre de chose qu’ils peuvent faire avec OneNote, ils sont souvent très surpris ! Chez Adaris, nous utilisons OneNote quotidiennement pour y sauvegarder des bons de commandes de clients, des factures de fournisseurs, etc. Et le tout avec des commentaire et des notes. Notre utilisation de OneNote nous a permis de vraiment opérer sans aucun papier – tout ce que nous recevons est numérisé et organisé dans un carnet OneNote. Tous nos carnets sont sauvegardés dans des sites SharePoint, et tout le contenu est indexé, facile à trouver et classé. Je réfère souvent à OneNote comme étant l’enfant oublié de la suite Office !
Groupes Office 365
Une addition récente à la famille Office 365, les Groupes permettent aux usagers de facilement créer des groupes pour collaborer. Ces groupes peuvent être « ouverts », c’est à dire que n’importe qui dans l’organisation peut se joindre au groupe, ou bien « fermé », pour les groupes qui doivent demeurés plus privés. Les Groupes incluent des conversations, des fichiers, un calendrier et un carnet OneNote. N’importe quel usager peut créer un groupe, ce qui enlève le fardeau au département des TI. On pourrait dire que c’est comme un « mini-site SharePoint ».
Collaboration, Collaboration, Collaboration
Comme vous pouvez le constater, Office 365 ouvre la porte à plusieurs façons de collaborer. On pourrait même dire que c’est trop ! Chaque organisation devra déterminer ce qui fonctionne pour eux : SharePoint ? Yammer ? Groupes ? La meilleure réponse sera probablement….un petit mélange de tout. Combien de fois avons nous entendu des employés se plaindre qu’il n’y a pas assez de communication à l’interne ? Nous l’entendons constamment. Alors voilà ! Office 365 peut très bien adresser ce problème.
Mais ne vous faites pas d’illusion ! Malgré le fait que l’écosystème d’Office 365 est très facile d’utilisation, malgré que c’est très simple à déployer, la collaboration et la communication demandent un changement culturel ! il ne s’agit pas d’un bouton que l’on appui et TA-DAMMM! tout le monde se mets à collaborer ! Loin de là ! Il y a une adoption à prévoir, et celle-ci sera plus facile si les gestionnaires séniors de l’organisation adoptent les nouvelles façons de faire en premier. Dans bien des cas, les employés doivent être formés, encouragés, parfois même menacés d’utiliser ces outils. Ceci est un processus qui pourrait s’avérer être long et fatiguant, mais en bout de ligne, ça vaut la peine de persister. Vous trouverez peut-être que c’est plus facile pour les nouveaux employés qui se joignent à l’entreprise, puisqu’ils comprennent vite que « c’est comme ça qu’ils fonctionnent ici », alors l’adoption est beaucoup plus rapide.
Adaris travaille depuis plusieurs années dans le domaine de la collaboration ; nous avons travaillé avec des PMEs et la grande entreprise à travers le Canada et les États-Unis. Nous savons comment vous aider à bien démarrer les choses et encourager l’adoption.
Contactez-nous pour voir comment on pourrait vous aider.
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]]>The post Files Matter, Part I – Novell File Reporter appeared first on Adaris Technologies.
]]>The post Un regain de vie pour vos fichiers avec Novell Filr appeared first on Adaris Technologies.
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Ah, les bons vieux lecteurs réseaux — vous savez ceux dont je parle : votre H: personnel, le G: corporatif, et peut-être même le I: pour votre département. Perso, je n’ai pas utilisé ces partages réseau depuis des années, et je doute que les autres membres de mon équipe les utilisent. Ils ne sont simplement pas, disons…pratiques. Les gars sont toujours sur la route, travaillant avec des clients à travers le Canada et les États-Unis — nous ne sommes presque jamais sur le réseau local.
Il y a plusieurs années, nous avons commencé à utiliser Novell Teaming, qui depuis est devenu Novell Vibe. Nous aimions le fait que nous pouvions y déposer tous nos documents dans des espaces de travail et y avoir accès à partir de n’importe où. Je pouvais être assis dans une chambre d’hôtel à Calgary et travailler sur mes dossiers résidant dans mon serveur Vibe à Sainte-Thérèse. Superbe ! Lorsque Novell a publié le Vibe Desktop il y a un an, eh bien…je pouvais maintenant synchroniser les dossiers avec lesquels je travaillais sur mon portable et continuer mon ouvrage, même à 36 000 pieds dans les airs ! Une fois arrivé à l’hôtel et connecté à l’Internet, le Vibe Desktop s’occupait de tout synchroniser vers mon serveur. Qu’aurais-je voulu de plus ? C’était le bonheur total !
Ça fait maintenant deux mois que je participe à l’équipe Béta pour Novell Filr ; j’ai déjà eu la chance d’y installer et valider plusieurs versions, et nous avons une téléconférence hebdomadaire avec Novell pour partager nos expériences. Il y a deux raisons que j’aime beaucoup participer aux cycles Bétas : 1) avoir la chance d’apprendre comment déployer et utiliser la solution afin d’être prêt à l’offrir aux clients lorsqu’elle sera sur le marché, et 2) le plaisir de voir le développement et le progrès d’une solution d’entreprise, de discuter avec les développeurs et de participer aux décisions prises.
Au moment où j’écris ces mots, nous sommes à la version Béta 4. Les développeurs ont fait un excellent travail jusqu’à maintenant et je suis très impressionné de progrès.
Alors…c’est quoi au juste Novell Filr ?
Pensez « DropBox » pour l’entreprise. Vos utilisateurs pourront y sauvegarder leurs fichiers, et ceux-ci seront sauvegardés dans votre propre réseau interne. Eh oui — pu de nuages ! Malgré le fait que la tendance semble être vers les nuages, je suis en effet toujours surpris combien il y a d’organisations qui détestent le fait que leurs usagers utilisent des services infonuagiques pour y sauvegarder leurs fichiers et les partager.
Si ça s’arrêtait là, si c’est tout ce que pouvait faire Filr, je vous confirme que j’aurais déjà assez de clients intéressés. Par contre, Filr permet aussi de publier n’importe quel répertoire sur vos partages réseaux existants afin que vos utilisateurs puissent accéder aux fichiers à partir de n’importe où, sur n’importe quel type d’appareil.
Je vous donne un exemple : sur un de nos serveurs, nous avons un volume qui s’appelle « DATA » (je sais, je sais, ça manque d’imagination comme nom, mais ça date de loin !). Par le passé, avant que nous ayons Vibe, nous y sauvegardions tous nos documents dans une structure de répertoire. Un de ceux-ci était DATA:DataFournisseursNovell. C’est là que l’on retrouvait des listes de prix, des manuels, des PDFs sur les produits, etc.
Eh bien cette semaine, en jouant avec Filr, j’ai eu la réalisation que « Eille ! Maintenant je pourrais me remettre à utiliser ces répertoires encore une fois, puisque j’y ai maintenant accès à partir de n’importe où ! » Malgré le fait que nous utilisons énormément Vibe pour la gestion documentaire et la collaboration, il y a toujours certains types de fichiers ou documents qui ne s’apprêtent pas à cette structure, et on ne semble jamais savoir où au juste on devrait les déposer. J’ai donc fait le ménage dans le répertoire Novell — les fichiers les plus récents dataient de 2008, juste pour vous donner une idée ! — et j’y ai déposé des documents récents, comme les dernières listes de prix et produits, des présentations et documents techniques. Et voilà — un répertoire qui est à nouveau pratique et fort agréable à utiliser !
DATA:Data/Vendors/Novell vu à travers un fureteur…
Dorénavant, je peux accéder à ces fichiers à partir de n’importe où, sur n’importe quel type d’appareil — iOS, Android, Mac OS X ou Windows — en ligne ou hors ligne.
Le même répertoire, synchronisé localement !
Facile, sécuritaire et pratique !
Novell Filr me fait redécouvrir mes partages réseau et fait en sorte qu’ils redeviennent importants à mon travail. J’imagine que lorsque Filr fera son entrée à la fin d’avril, il sera en mesure d’ajouter une valeur certaine pour beaucoup de clients !
Et bien sûr, dès que Filr sera sorti, Adaris sera déjà prêt à aider les organisations à le déployer rapidement et efficacement grâce à notre offre filr:Avantage.
Restez à l’écoute !
MISE À JOUR: Filr 1.0 est sorti le 30 avril et est maintenant disponible!!
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]]>The post Abandonner GroupWise: une décision couteuse appeared first on Adaris Technologies.
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Un client éducationnel— plus de 75 écoles, environ 40 000 élèves et plus de 7 500 employés (administratifs et pédagogiques).
Ils utilisent GroupWise.
Ça fait des années. Ils ont un domaine avec 9 bureaux de poste pour les 7 500+ employés — ces bureaux de poste traitent une tonne de courriels tous les jours. Presque tous les enseignants accèdent à leur boite aux lettres par l’interface WebAccess.
Il y a un autre domaine, avec 3 bureaux de poste, pour les 40 000+ élèves. Oui, bon, il y en a seulement environ 5 000 qui utilisent leur adresse courriel fournie par la commission scolaire, mais tous les élèves ont néanmoins une boite aux lettres.
Et finalement, il y a un serveur qui héberge l’agent Internet et l’interface WebAccess. Alors, en tout et partout, 13 serveurs pour assurer le service aux presque 50 000 utilisateurs.
Il y a aussi un serveur Blackberry Enterprise Server, puisque ceci avait été la direction adoptée il y a quelques années. Comme beaucoup d’organisations, par contre, les téléphones intelligents et les tablettes prennent leur place et il y a une énorme demande pour connecter ces appareils. La commission scolaire a donc déployé un serveur GroupWise Datasync pour ceux-ci.
Et bien sûr, il y a les appareils de sécurité, qui fournissent les services antipourriels et antivirus pour tous les courriels.
Pouvez-vous imaginer l’équipe requise pour gérer un tel environnement ?
Un.
Non, sérieusement : un gars !
Et chaque fois que je visite leur bureau, il a toujours le temps pour jaser — il n’a jamais l’aire d’être sur le bord d’une crise nerveuse.
Évidemment, ils sont très heureux avec GroupWise. C’est fiable, c’est stable — ça « roule » tout l’temps ! Ils ont estimé, basés sur des rapports et articles qu’ils ont lus, que si jamais ils décidaient de migrer vers Exchange, ils auraient besoin d’une équipe d’environ 12 personnes pour gérer un environnement semblable. Le nombre de serveurs devra doubler ou même tripler, ce dont nous ne doutons aucunement — nous connaissons un collège qui est parti d’un seul serveur GroupWise pour leurs 850 utilisateurs vers quatre serveurs Exchange. Et oui, pour le même nombre d’utilisateurs !
Ne vous trompez pas — une telle migration est couteuse, douloureuse et prends beaucoup de temps ! Malgré ceci… plusieurs organisations entreprennent les démarches pour migrer de GroupWise à Exchange. Tel qu’évident dans les commentaires de cet article, les décisions sont rarement prises au niveau technique. Un exécutif insiste pour avoir Outlook comme client pour ses courriels, ou quelqu’un se fait promette toute sorte de choses par Microsoft, ou un nouveau CIO ou directeur entre en poste, qui ne connait rien de Novell (ou associe encore Novell à NetWare ! Vraiment ?) et décide de tout arracher et remplacer. Nous connaissons même des organisations où un nouveau CIO arrive en poste, décide de tout remplacer, et ensuite quitte, laissant derrière une équipe très amère qui dois constituer avec la situation.
Superbe.
Souvent, lorsque je discute avec des clients GroupWise qui considèrent faire le changement, je leur demande pourquoi, et il devient évident que le plus gros problème est un manque de formation ! Lorsque j’en ai la chance, je prends quelques minutes pour leur montrer comment adresser un problème qu’ils ont, et la réaction est du genre « Ah. Cool ! » Certains de ces clients finissent par acheter de la formation pour leurs usagers. Ce qui me surprend tout le temps, ce de voir ce qu’ils peuvent apprendre en 2 heures, même après avoir travaillé avec GroupWise pendant des années !
Aux clients GroupWise existants : sachez que vous avez un système de courriel fiable & extrêmement puissant. Sachez que Novell est entièrement dédié à GroupWise, écoute leurs clients et leurs partenaires, et que la communauté est très forte (clients québécois – abonnez-vous à www.novell-quebec.ca).
Aux clients qui utilisent d’autres solutions : désolé.
Vous voulez plus de détails ? Téléchargez cet article de Novell pour voir les coûts de migration.
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]]>The post Sommet technique Novell 2012 – Jour 2 appeared first on Adaris Technologies.
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Alors voila, c’est le début du sommet technique ! Voici mes notes pour la journée.
En premier, Jason Blackett, chef de produit pour ZENworks, nous offre un aperçu de versions futures de ZCM.
La version courante est 11.2.1. il y aura des « Maintenance Updates » (MU’s) mensuels, et des « system updates » tous les trois mois (11.2.1, 11.2.2, etc); 11.3 prévu pour la fin de 2013.
Points majeurs prévus pour ZCM:
2013
- Compatibilité avec Windows 8 (avec 11.2.3, février 2013); fonctionnalité « de base », dans le sens de « ce qui fonctionnait avec Windows 7 fonctionnera avec Windows 8 »
- Nouvel engin de rapports
2014
- Gestion multi-zone
- Conformité de sécurité et audit
- Libre-service aux utilisateurs
- Virtualization
ZCM 11.3 (2014)
- Compatibilité complète avec Windows 8
- Conformité de sécurité et audit (qui a changé quel ensemble ou stratégie; qui a utilisé le contrôle à distance; suivi des actions du côté client)
- Multi-zone!
- Améliorations à l’inventaire et le mécanisme de découverte
- Amélioration dans l’administration déléguée
ZENworks Mobile Management « Sundance »
- améliorations pour iOS 6
- support pour les groupes LDAP (par exemple, assigner une stratégie à un groupe LDAP)
- améliorations dans l’intégration avec Datasync (on sélectionne un usager dans ZMM et on accède à son profile dans Datasync)
- améliorations des rapports
Ensuite, Dean Lythgoe, chef de produits pour le côté collaboration. Dean nous a présenté un survol des nouveautés qui sont prévues dans les prochaines versions de GroupWise, Datasync et Vibe, qui a déjà été publié de façon très intéressante sur le site de Novell au http://www.novell.com/php5/groupwise.
Finalement, Glen Davis, chef de produit pour OES.
- Filr – «aperçu technologique » en décembre, beta au début de 2013, première version en avril 2013. (Ja sais, tout le monde attend ceci avec impatience, et on croyais tous que ça serait disponible avant la fin de 2012, mais c’est un énorme projet et beaucoup de ressources ont été attribuées à ce produit; je suis convaincu que l’attente en vaudra la peine !)
- Mobile iPrint – début 2013
- Appareil iPrint – avril 2013
Et tout ceci en matinée !
En après-midi, David Condrey nous a présenté les nouvelles versions de Novell Storage Manager 3.1 et Novell File Reporter 2.0. Ce sont deux produits que nous ne présentons pas souvent aux clients, mais David à vraiment soulevé de très bons points et nous allons examiner ceux-ci de plus près.
Et finalement, Christina Chamberlain, « The ZAM Queen » (une de mes personnes préférées chez Novell!), nous a donné une excellente introduction à la gestion des licences avec ZENworks Asset Management. À chaque fois que je vois ce produit, je me demande pourquoi toutes les organisations ne l’utilisent pas – c’est vraiment incroyable comme solution !
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On profite des beaux paysages de l’Utah.
« La meilleure chose pour l’intérieur d’un homme, c’est l’extérieur d’un cheval. »
Personnellement, je suis totalement en accord avec ceci ! Il y a quelque chose de reposant, de guérissant, même, que de monter à cheval et découvrir du beau pays. Loin du béton et du fracas de la ville, loin des embouteillages de trafic et les détours de constructions, mais plus important encore, loin des problèmes et inquiétudes du quotidien pour quelques heures.
Dans la dernière année, lors de mes voyages d’affaires à travers le Canada et les États-Unis, je recherche des endroits pour faire de belles randonnées ; après tout, où est-il écrit qu’on ne peut pas mélanger le plaisir au travail ?
Cette semaine, Novell accueille tous les ingénieurs aux ventes ainsi que les Partenaires à Provo, au Utah. Durant cette semaine, nous allons rencontrer les gérants de produits, voir un aperçu des versions futures des produits, ainsi que recevoir de la formation sur les nouveaux produits. Je suis ici en compagnie de notre Directeur de Toutes-Choses-ZENworks, Gary Trépanier, et nous avons bien hâte de voir tout ça !
Je vais tenter de vous informer le plus possible — idéalement, de façon quotidienne — sur les sujets abordés. Il se passe tellement de choses chez Novell, alors gardez un oeil sur ce site pour en apprendre plus.
Pour ceux d’entre vous qui n’avez jamais visité l’Utah, eh bien je dois vous dire que c’est un paysage extraordinaire pour une randonnée équestre, alors Gary et moi avons voyagé dimanche et avons passé la majeure partie de la journée aujourd’hui à cheval. Nous sommes allés avec Rocky Mountain Outfitters. Notre guide, Ashley, participe à des compétitions professionnelles de rodéos, principalement dans les courses de barils. Elle fut une guide fantastique !
Revenez voir le site durant la semaine pour voir ce qu’il se passe chez Novell et tout ce qui s’en vient !
« Allez, on monte ! » C’est le temps de partir en randonnée !
ÇA c’est du trafic que ne me dérange pas ! Tellement mieux que de regarder une longue lignée de voitures, n’est-ce pas ?
Gary, notre Directeur ZENworks, qui contemple un grand cambriolage de train !
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